De tous temps, les humains ont utilisé les animaux comme auxiliaires d'attaque et de défense et comme cobayes pour tester sur eux pleins de choses désagréables. L'avantage des insectes, c'est que cela ne coûte presque rien et s'éduque très facilement, que leurs performances sont infiniment supérieures à celles de tous les autres animaux et encore plus des outils électroniques, et que tout le monde se contrefiche de ce qui pourrait leur arriver.
Le 7 décembre est le jour de la Saint Ambroise, patron des apiculteurs. Dans les divers groupements et syndicats, ce sera l'occasion d'assemblées, de festivités et de ripailles. Profitons de l'occasion pour aller rechercher dans notre "longue mémoire" ce que signifie ce nom d'Ambroise, qui évoque l'ambroisie des dieux, et toutes ces choses, vieilles d'au moins 4000 ans, qui nous rattachent à un passé qui perdure dans nos mentalités, dans notre langage, dans nos comportements. Buvons le nectar, élixir d'immortalité, boisson de nos dieux anciens !
Il en est qui cherchent des truffes avec leur cochon, voire avec un chien soigneusement dressé. Il en est d'autres qui vont bientôt chercher de l'or avec leurs fourmis ou leurs termites. Cela se passe en Australie, c'est expliqué dans les revues scientifiques et techniques et c'est la Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation qui a levé le lièvre.
… qui ont six pattes et un corps divisé en trois parties. On le sait mais cela n’a pas été toujours le cas. Il y a environ 300 millions d’années vivaient des « insectes géants », des libellules avec des ailes de 70 cm par exemple. Pourquoi donc ont-ils disparus ?
Chez les apiculteurs, il est parfois de bon ton de dire que l'abeille mellifère est là depuis tellement longtemps, qu'elle en a tellement vu d'autres, qu'elle s'adapte si bien à tous les changements, ... bref, qu'elle saura aussi passer avec succès les épreuves actuelles : mondialisation, parasites, maladies, métissage, et même les pesticides ! La publication du séquencement des gènes dans le génome de l'abeille ne soutient pas vraiment cet optimisme.
Un EFFET TEMPERATURE est-il possible sur la surexpression du système immunitaire inné ? Un effet CHOC THERMIQUE sur les cellules nasales attaquées par le COVID-19 pourrait-il déclencher la cascade des réactions naturelles des défenses cellulaires conservées par l’évolution (depuis les bactéries jusqu’aux humains) et arrêter l’agression virale en cours bien avant qu’elle ne puisse se propager aux poumons ? C'est l'hypothèse (à vérifier) d'un biologiste marin familier des virus qui attaquent les piscicultures !
Pour faire des bébés, il faut être deux. Quand on a les pieds bien enracinés dans le sol, il faut trouver une solution. Les plantes à fleurs ont inventé les étamines et le pollen, ces merveilleux grains de pollen que le vent ou les insectes (et particulièrement les abeilles) transportent d'une fleur aux autres pour une pollinisation croisée.
La toute nouvelle publication française d'un ouvrage d'art anglais permet de voir grâce au microscope la diversité, la beauté, la rigueur de l'architecture des grains de pollen. Si l'immensément grand de l'espace nous fascine toujours, l'immensément petit tout autour de nous est tout aussi admirable. Allez voir !
Il en est qui cherchent des truffes avec leur cochon, voire avec un chien soigneusement dressé. Il en est d'autres qui vont bientôt chercher de l'or avec leurs fourmis ou leurs termites. Cela se passe en Australie, c'est expliqué dans les revues scientifiques et techniques et c'est la Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation qui a levé le lièvre.
Une espèce de guêpe a trouvé un moyen original d'assurer la survie de sa descendance: elle force une coccinelle à devenir la garde du corps de sa larve. La guêpe pond son œuf dans le corps de la coccinelle. Parvenue à l'état de larve, elle s'extirpe du corps de la coccinelle et tisse son cocon dans ses pattes. La coccinelle, en partie paralysée par le cocon de son parasite, retrouve la liberté à l'éclosion de la guêpe.
… qui ont six pattes et un corps divisé en trois parties. On le sait mais cela n’a pas été toujours le cas. Il y a environ 300 millions d’années vivaient des « insectes géants », des libellules avec des ailes de 70 cm par exemple. Pourquoi donc ont-ils disparus ?
Au Kenya, la population humaine a triplé dans les 30 dernières années. Villages et cultures grignotent les terrains naguère réservés aux éléphants. Ceux-ci dévastent les potagers. Pour les faire fuir, on leur envoie le son que font les colonies d'abeilles quand on les dérange. Ils le (re)connaissent et prennent peur immédiatement.
Lors de l'étude d'une espèce de mouche américaine, appelée Emblemasoma auditrix, des chercheurs ont constaté que le nombre de larves saines se trouvant dans l'abdomen de la mère diminue avec le temps...
Les abeilles récoltent sur les fleurs le jus sucré du nectar, pour l’énergie qu’elles vont consommer, et les protéines du pollen pour la croissance de leurs jeunes. Certaines solitaires, comme les mégachiles, y ajoutent des feuilles soigneusement coupées pour tapisser le nid qu’elles vont construire dans les cavités des bois. Les raffinées préfèrent les pétales.
Le trouble de l’attention-hyperactivité toucherait 5 % des enfants en France et une moyenne de 12 % dans le monde pour les enfants de 8 à 12 ans. Prédispositions génétiques ? Peut-être bien. Impact de l’environnement ? Sans doute aussi. Une récente étude publiée tente d’aborder le problème sous un autre angle.
Le 28 octobre 2015, un entomologiste chef de service au ministère étatsunien de l'agriculture, accusait sa hiérarchie d'avoir supprimé des résultats de recherche susceptibles de mettre en cause l'utilisation d'une classe répandue de pesticides (les néonicotinoïdes), un des gros moteurs de revenus de l'industrie agrochimique.
Le Bacillus thuringiensis, n' a été découvert qu'en 1911. Il est aujourd'hui l'insecticide organique le plus utilisé au monde. Son fonctionnement commence a être mieux connu et les perspectives qu'il ouvre en pathologie humaine sont à l'étude.
La quasi-totalité des humains qui habitent l’Europe et les États-Unis vivent aujourd’hui dans des zones où la pollution lumineuse est telle qu’ils ne peuvent plus voir la voie lactée à l’œil nu. Même pour apercevoir le baudrier d’Orion en hiver, il leur faudra bientôt aller se cacher dans une ruelle sombre ou entre les arbres de leur jardin.
Les chasseurs du Lot décident de semer un hectare de fleurs sur une jachère. Un début modeste pour le petit gibier mais peut-être aussi pour les insectes pollinisateurs. C'est vous les chasseurs ? C'est bien, continuez !